Histoire des familles Meot / Guglielmi / Leroy

Les MEOT sont originaires de la Haute Marne (52) entre le plateau de Langres et le nord de la Cote d’Or.
Le nom a surement été mal orthographié avant ou au 16ème siècle et les noms MIOT et MEOT désignent certainement une origine commune.
La branche MEOT qui nous intéresse à probablement ses origines dans le village de Coublanc (52) puis migration pour mariage vers Violot puis Chalancey. On remonte vers 1550. Les professions sont multiples. Beaucoup d’ascendance dans la forge et le bois mais aussi des vignerons et des laboureurs lorsque l’on s’approche de la Cote d’OR

Le premier départ connu pour Paris est celui de Marie Therese Méot née en 1838 à Chalancey (52). Sans conjoint déclaré, elle a donné naissance à Paris 7eme à Louis Adolphe Méot en 1869 (enterré au cimetière de Vaugirard) qui est le grand père de Daniel. Elle est peut-être venue à paris avec sa sœur Augustine Marie qui avait épousé Joseph Auguste Sauvageot. On trouve des liens à Paris entre les Sauvageot et les Méot jusqu’en 1955 (120 ans). Les 2 familles ont dû rester proche (Daniel en a peut-être des souvenirs)

Un Meot Célèbre: Nicolas Méot, ancien cuisinier du prince de Condé, s’établit en 1791 au 8 rue de Valois à Paris (Palais royal).
“Par un acte du 9 nivôse an IV (30 décembre 1795), Ferdinand d’Osterwald, Suisse, a vendu à Nicolas Méot, restaurateur, la maison ci-dessus pour la somme de 4,273,200 francs. L’établissement de Méot acquit sous le Directoire une certaine célébrité.” Un Meot Célèbre: Nicolas Méot, ancien cuisinier du prince de Condé, s’établit en 1791 rue de Valois à Paris (Palais royal).” 

Est ce que c’est  le premier restaurant français ? Peut-être pas, mais il est dans la lignée de l’essor des restaurants à la révolution quand les cuisiniers quittent les riches nobles chez qui ils travaillent pour ouvrir leur établissement. Est-ce que le premier restaurant est  celui de Beauvilliers ? Pas d’avantage ! Le mot “RETAURANT” est toutefois  créé par ce sieur Beauvilliers qui nomme ainsi son restaurant qu’il a ouvert à la même période que Méot (1788-1791) dans le périmètre du Palais-Royal. Il  avait donne ce nom à son établissement pour faire référence à ses mets qui devaient restaurer la santé. Pour parler du premier restaurant français, il faur remonter en 1765 avec Mathurin Rose de Chantoiseau, qui ouvre ce qui deviendra un “restaurant” rue des Poulies près du louvre. Il adopte les codes de ce que sont les  restaurants actuels : table séparée et menu à choix multiples. A l’époque c’était essentiellement des bouillons. C’est avec Méot et quelques autres ,  que l’on rentre dans la gastronomie comme le décrit Brillat-Savarin.

Une dizaine de “restaurants” sont ouverts dans ce quartier du   Palais Royal juste après la révolution (Beauvilliers, Meot, Le Boeuf à la mode, le café de Foy, Very, le Grand Vefour, le café de Chartres, les trois frères provencaux…). Ils sont fréquentés par une clientèle nouvelle, la bourgeoisie et notamment des députés de province venus à Paris. La haute cuisine sort du milieu de cours, à la plus grande joie des bourgeois qui n’avaient jamais goûtés ni truffe ni chambertin. Apprécié par les Conventionnels, “Méot” accueillait régulièrement à ses tables Robespierre et Saint-Just. Meot travailla ensuite sous l’empire pour Joseph Bonaparte. Le nom du restaurant venait de son enseigne représentant un bœuf, et d’une statuette placée en salle dont l’apparence vestimentaire changeait au rythme des garde-robes des Parisiennes. Sous le Directoire (1795-1799) un nommé Tissot repris le restaurant et habilla le bœuf en ” Incroyable “. Le ” Bœuf ” acheva sa carrière en 1936. Aujourd’hui, à la place du restaurant, se trouve le Ministère de la Culture. 
Nous n’avons pas trouvé à ce jour de lien avec notre arbre (recherche en cours).

Documentation :

La branche GUGLIEMI est Corse du village de Quasquara près d’Ajaccio. Pierre Marie gendarme s’exile sur le continent vers 1870, en Ardèche puis dans l’Oise. Son fils Charles Marie militaire nous ouvrira par son alliance une branche purement bretonne.
Une anecdote pour cette branche est le cousinage avec TINO ROSSI.

La branche LEROY

Le nom Leroy est un patronyme très répandu. Cette branche est originaire de Verdelot dans la Marne.
Pour la branche d’Etienne  LEROY, la diversité des lieux est plus grande mais se concentre au sud du bassin parisien dans la Vienne, le Loiret et l’Yonne

Les MEOT constitue donc une famille qui a donc tourné dans les campagnes autour de Paris si on exclut les branches corse et bretonne.

Histoire des Blanc de Saint-Paul

Nous avons identifié plusieurs branches de “Blanc” dans le haut chablais avec des liens entre elles suite à des alliances. Il nous est encore impossible de garantir une ascendance commune à toutes ces branches. Deux branches sont localisées à Saint-Paul / Bernex qui elles, ont certainement une ascendance commune peut-être sur Abondance.

La première partie de cette page est dédiée aux Blanc de Saint Paul en Chablais. Nous nous focaliserons sur deux “Blanc” de la commune ayant acquis une certaine notoriété:

Francois Marie blanc qui a été Syndic de la commune vers 1849 est qui a laissé un cahier manuscrit intéressant (voir ci-dessous).

Arhur Maurice Blanc (dit Arthur de la dent d’Oche) sur lequel Paul Guichonnet  a écrit un livre décrivant sa vie d’alpagiste au 20ème siecle.

——————————————————————————

Je me suis autorisé de diffuser un document venant du site de la mairie de Saint-Paul qui a été rédigé en 1872 par Francois Marie Blanc que vous retrouverez sur notre arbre généalogie. Les membres de notre famille issus de cette branche de Saint Paul y retrouveront des informations intéressantes sur leur village.

Document de François Marie Blanc (cliquez sur le portrait)

Nota: Une fois de plus on trouve également dans ce document une mention concernant les Paccard fondeurs de cloches à Quintal qui apparaissent tout en haut de notre arbre.


Un autre histoire amusante sur Saint-Paul !

Il s’en passait de belles à Saint Paul en 1700 !

Claudine d’Oncieu et  Claude de Blonay
Une terrible légende circule à son sujet ! Mais est-ce un légende ?
L. E. Piccard nous dit que Claudine a quasiment ressuscité d’entre les morts.  Voir Académie Chablésienne tome 19 repris par de nombreux auteurs dont Jean Dufresne dans histoire et légendes de Savoie (1933)
Une anecdote au sujet de cette famille de Blonay, amie de Saint François de Sales : Claude de Blonay eut, outre Marie-Aimée, plusieurs enfants. L’un d’eux du nom de Jacques eut à son tour comme fils encore un Claude de Blonay qui épousa, en secondes noces, le 26 août 1602, .Claudine, fille de Janus d’Oncieu, premier président du Sénat de Savoie. Or, voici ce que raconte la tradition Claudine de Blonay née d’Oncieu étant morte jeune encore, on la descendit dans le caveau funéraire de la famille, sous les dalles de l’église de Saint-Paul. La nuit suivante, M. de Blonay, son époux, la pleurait tristement dans sa chambre, quand soudain on frappa à la porte du castel. Il tressaille en murmurant «  c’est ainsi qu’elle heurtait ! » Enfin la porte s’ouvre, et, Mme  de Blonay apparaît, enveloppée de son suaire.” En l’ensevelissant on lui avait laissé une bague qui avait tenté la cupidité d’un de ses domestiques. A la nuit close celui-ci avait pénétré dans l’église, rouvert le caveau et coupé, pour arracher l’anneau, le doigt de la baronne. Mais celle-ci, tirée de sa catalepsie, s’était dressée tout à coup devant le voleur épouvanté. Elle vécut nombre d’années, et eut plusieurs enfants après cet événement.

—————————————————————————-

——————————————————————————

 

 

D’autres branches Blanc existent,  dont une autre branche importante dans cette région, celle d’Arbroz et des Gets dont des descendants ont émigrés à Fribourg pour donner la branche décrite par Charles Olivier Blanc (geneanet Darbroz) qui nous dit:

“L’origine la plus ancienne des Blanc se trouve à Arbroz. Résidant en février 1384 au hameau de la Côte d’Arbroz, Johannès Blanchi – dit aussi Albi – de Arboribus (Blanc d’Arbroz) eut une postérité dont probablement une branche se fixa au lieu-dit les Pesses, sur la route de Taninges, dont ils portèrent le nom dans les actes notariés jusqu’au 18e siècle pour se distinguer d’autres frères, parents ou familles du même nom (Blanc “de la Bracquerie”, “de la Vuagère”, “de Combafol”, “de la Joug”). La terre d’Arbroz – la Côte d’Arbroz -, fort bien exposée, était plantée d’arbres fruitiers, d’où son nom, et convoitée pour ses riches pâturages.

Le territoire des Pesses (sortie des Gets sur la route de Tanninges) appartenait à la famille Blanc depuis au moins le XVIe siècle. Ce territoire, comme tous ceux mis à disposition par les pères de l’abbaye de Contamine et exploités par les anciennes familles des Gets, était une propriété ou sieurie transmissible de père en fils (usage de l’ancien Faucigny maintenu par les comtes de Savoie), comme la terre voisine des Hostelières (du nom d’une auberge importante) appartenait de père en fils aux Coppel qui s’allièrent plusieurs fois aux Blanc à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe siècle.

Aux Pesses devait se trouver une maison de maître (grand chalet) et ses communs, mais l’ensemble paraît avoir été morcelé à la fin du XVIIIe siècle. On peut rapprocher ce lieu de celui, voisin, dit Les Clos, investi par la même famille Blanc depuis le Moyen Age, époque à partir de laquelle les Blanc devinrent gardes ou régisseurs du château ducal de la Frace (ou La Frasse). Ce château qui défendait le col des Gets,avait été édifié par Jean Verbou, moine prieur de Contamine et maître abbé de la Confrérie du Saint Esprit (1420). Il passa ensuite aux sires de Faucigny, aux comtes puis ducs de Savoie, et fut démantelé à la fin du XVIIe siècle.

Les registres paroissiaux étant lacunaires pour les périodes les plus anciennes, la généalogie des Blanc des Gets n’a pas pu être reconstituée au delà du XVIe siècle. Celle de Jean-Baptiste Blanc des Gets, devenu citoyen du Puy-en-Velay, l’a été avec une marge d’ereurs tenant aux lacunes, aux homonymies et et à la lisibilité des documents anciens.

Cette famille savoyarde jusqu’en 1860, portait un blason transmis à la postérité par un de ses descendants émigré à Evian : “d’azur à la fleur de lys d’argent surmontant trois coupeaux de même et accostée de deux étoiles d’or à six rais”. Cimier: buste d’homme tenant un cimeterre posé sur son épaule”. (J. Baud, dans son Armorial du Chablais, Académie chablaisienne, Slatkine, 1993). La descendance de Jean-Baptiste Blanc porte, comme le voulut son épouse, le blason Jouve de Ladevèze.”

Il nous reste encore beaucoup à étudier !

Histoire des Micucci / Ponzone / Pinto

Cette famille originaire d’Italie, se retrouve à Alger vers 1905 et fait, en ce qui nous concerne, alliance avec les Bourdaloue. Elle se déplace en France chassée par la guerre d’Algérie. Nous avons pu remonté quelques générations.

Nous joignons quelques documents familiaux qui relatent une partie de son histoire. <

En fait plus que s’intéresser aux Miccuci nous nous intéresserons à Maria Addolorata Ponzone qui immigra vers Alger avec un jeune enfant François reconnu par elle et par Nicola Micucci que Maria a connu éphémèrement avant que celui-ci n’immigre vers les USA. Maria  émigra avec sa sœur Anna qui éleva Francois. Maria, comtesse Autrichienne, avait eu cet enfant illégitimement  à une époque où il était inimaginable qu’un enfant puisse naître hors mariage.

Qui étaient ces Ponzone ?

On retrouve des Ponzone en terre du Saint Empire dès le 12eme siècle. On en retrouve également dans la guerre des Monferrat, ce qui nous rapproche de l’histoire de la Savoie!  Des Ponzone ont été également très actifs à Cremone (quelques documents en notre possession serait à étudier)

Au XIX, notre branche probablement de Trieste avait une résidence d’été en bordure du lac de Garde. C’est près de ce lac qu’à du naître François illégitimement.

Bien plus tard à Alger, François épousa Grace Marie dit Grazielle Pinto. Ce mariage nous fait retourner en Italie mais nous ne remontons pour le moment pas au delà du 19eme siecle.

Histoire des Knight

Peut-être notre branche famililiale la plus courte courte mais quelle célèbre branche !!!!

On  a longtemps pensé  que cette branche : les Knight était originaire de la martinique, c’était vrai ! Mais nous avons réussi a remonter encore plus loin avec l’aide des mormons !!!!

Les Knight sont en fait de La Barbade par Barbary OSTREHAN (clic)

Cette Barbary probablement issue d’une famille écossaise ou anglais immigrée à La Barbade alors colonie britannique a eu une fille:  F Henrietta Mary KNIGHT Née le 19 juin 1784 – st michael,barbados / Décédée le 19 avril 1877 – saint-pierre,martinique , à l’âge de 92 ans. 

Barbary enfanta  Henrietta sans conjoint connu et émigra à la Martinique, et la branche se développa…..Henrietta eut probablement 5 enfants bien qu’elle décèda célibataire. On peut penser que le déplacement vers la Martinique se fit vers 1814 avec un arret entre les Barbades et la Martinique sur l’ile de Saint Vincent pour la naissance de Robert Knight dit Wattleworth le 22 novembre 1814. C’est son neveu, Alexis Auguste Amedee, qui va rendre la branche célèbre.

Cette histoire est peu compliquée pour que nous la développions dans ce simple blog.

Nous avons choisi de la présenter dans un fichier pdf que nous vous offrons en téléchargement.

Histoire des Knight          

Résumé :

Barbary Ostrehan fut l’ancêtre (4 générations) de : Alexis Auguste Amedee KNIGHTindustriel et parlementaire français. Il est sénateur de la Martinique de 1899 à 1916, sa famille possède une maison de commerce à Saint Pierre (Martinique) propriétaire du bateau la Gabrielle dont une partie de l’histoire nous est contée dans l’histoire de Saint-Pierre, que nous vous invitons à lire dans le document en lien. Il fit l’acquisitaion du domaine Beauséjour associé à une rhumerie de nouveau célèbre et opérationnelle aujourd’hui.

 

https://www.facebook.com/rhumbeausejour/

Cette branche Knight a été décimée lors de l’érruption du volcan de la montagne  Pelé (clic) le 8 mai 1902.

Liste des disparus sur http://www.stpierre1902.org/index.html

Alexis Auguste Amedee KNIGHT fut probablement sauvé du désastre par sa présence en métropole ou sur le bateau de retour en tant que sénateur membre de la gauche démocratique.

Un clic sur sa photo vous en dira plus

La résidence Beauséjour qui lui a appartenu, est classée et visitable aujourd’hui encore (clic photo)

Histoire des Guillemant

Cette Famille est pour nous une famille “parisienne” originaire de province sur laquelle beaucoup d’éléments restent à découvrir.

 

 

 

 

 

Le berceau de cette famille est Estrée-Cauchy dans le Pas de Calais.

Nous avons pu retrouver des informations sur LOUISE Marie Cécile GUILLEMANT:  Louise-Marie-Cécile Knight veuve de Paul-Charles-Louis Guillemant, constructeur-mécanicien, à. Paris, quai de -la Loire, 40 et 42, demeurant rue Gustave-Doré, 4. P. Boher et Cie.soeur de marie. Elle avait une société en commandite simple dédiée à la vente de l’apéritif dénommé « l’Identique » et de tous autres vins et apéritifs, à SaintMaurice (Seine), 14, rue du Plateau).

———————————————————————————-

———————————————————————————————–

 Georges Paul louis Guillemant frère de Marie Cécile….

 

Marguerite Chasseriaud épouse de Georges Paul Louis

Pour plus d’information voir notre généalogie.

Histoire des Bourdaloue

Tout raconter sur cette famille, le site n’y suffirait pas!! On se contentera de dire qu’à notre connaissance 2 branches subsistent en 2016 qui portent encore le nom de Bourdaloue. Ces branches sont issues de la branche Mehun dont le plus ancien ancêtre référencé est Jehan Bourdaloue vers 1380.

Vous trouverez de nombreuses informations sur l’ouvrage suivant mis en lien (clic): Tausserat, J.-B.-Emile. Auteur du texte. Etude généalogique sur
les Bourdaloue , par J.-B.-Emile Tausserat,… avec divers
appendices par Henri Chérot,…. 1900.

Sans vouloir faire offense aux vivants, le personnage le plus célèbre de cette famille est sans nul doute Louis Bourdaloue, célèbre prédicateur de Louis XIV. Un petit clic sur sa photo vous en apprendra plus !! Après Pierre Favre c’est le 2ème jésuite de notre généalogie !

Louis Bourdaloue, né à Bourges le 20 août 1632 et mort à Paris le 13 mai 1704, est
un jésuite français. Brillant prédicateur connu pour la qualité de ses sermons qu’il récitait presque théâtralement, il prêchait, dit-on, les yeux clos. Son talent et sa réputation lui valurent de prêcher à la cour, où il fut surnommé « roi des prédicateurs, prédicateur des rois ». On a considéré Bourdaloue comme « le plus janséniste des jésuites. » Il joua un rôle important à un moment difficile de l’histoire des jésuites français.

D’autres Bourdaloue se sont distingués ou ont fait parler d’eux dans le passé (clic sur la photo): Paul-Adrien Bourdalouë (né à Bourges le 4 janvier 1798, mort à Bourges le 21 juin 1868), ingénieur et topographe français, proposa le premier système de nivellement orthométrique de la France

 

 

 

Les Favre de la vallée de Thônes

Cette page est dédiée aux Favre liés aux Ducrest (Ducret) de la vallée de Thônes. En 2019, Philippe SALIGER-HUDRY a publié un article très complet sur ce patronymes. Nous vous invitons à le découvrir sur le site des “Amis du val de Thônes (clic)”

Pour nous dans les descriptions de Philippe nous retiendrons les Favre_Villaret descendants de Mermet. L’un des plus important membres de cette branche fut Pierre FAVRE (1506-1546) un des créateurs de l’ordre des jésuites qui fut canonisé par le pape François en 2013. Cette famille des Favre du Villaret (Saint jean de sixt) a eu de nombreuses ramifications à Annecy. Cette branche d’Annecy commence réellement avec un autre “Mermet Favre”. Mermet devint bourgeois d’Annecy vers 1567. Il marque le début d’une descendance qui eut dans cette ville d’Annecy pendant 3 siècles une descendance fortunée. Il acheta une maison sur la rue de Notre-Dame à M. de Chavane patente de Bourgeoisie d’Annecy le 24/06/1567. (ci-dessus sculpture de Pierrre Favre par M. Demaison au chateau de Tresuns)

Un des descendants de Mermet fut M. l’avocat Jean François Favre (1757-1855) 1er maire d’Annecy, ce bienfaiteur de l’hôpital d’Annecy, mort en 1855, à l’age de 98 ans. Le seul jésuite qui avait grâce à ses yeux était Pierre Favre. Il participa à la restauration de la chapelle du Villaret dédiée à Pierre le bienheureux…….

Quelques documents en cliquant sur les titres ci-dessous.

La vie de Pierre Favre par Jean-Marie Dépommier (1832)

Le Grand PIERRE FAVRE par André RAVIER (1997)

Pierre Favre wiki

 

Notre Arbre d’ascendance vers Pierre Favre