Histoire des Braillon

Nos recherches ont pu débuter grâce à l’arbre manuscrit très complet initié par Jean Braillon époux  d’Hélène Durif-Varambon. On trouvera sur cet arbre de nombreuses branches de la région de l’isère les : Durif-Varambon, Perrier, David, Bruyat, Rossignol, Lassonery…. Pour l’ascendance agnatique des Braillon, on a pu remonter jusqu’en 1650 en s’éloignant du département de l’Isère.

  • Les patronymes n’ont quasiment pas changés. « Braillon » s’est quelques fois écrit Baillon, Baillion ou Bralion mais chaque fois l’oral a primé sur les erreurs de l’officier d’état civil et on est revenu à l’orthographe du 17ème siècle
  • Pour DURIF-VARAMBON pas d’évolution, quelques fois le premier patronyme DURIF disparaît sur un ou deux personnages seulement et ensuite retour à DURIF-VARAMBON. Ceci indique peut-être que « VARAMBON » dominait à l’oral.

 

Au début du 20ème siècle tous les membres sont domiciliés autour de Voiron.

Du 17eme au 19eme tous les personnages sont localisés en Isère entre  entre Saint-Laurent du Pont et Voiron ou plutôt Coublevie, sauf…. Les Braillon (voir ci dessous)

Nos Braillon ont  vécus à Tarare et dans les environs  entre 1750 et 1901. Au 19eme siècle il y avait un célèbre café Braillon place du marché de Tarare. Ce café s’appelle « Le centre » place du Marché en 2017, mais encore aujourd’hui on mange la célèbre andouillette Braillon à Tarare. Les Braillon à Tarare cela a débuté vers 1750 avec François Braillon (ascendance directe de notre branche) époux de Mlle Barthélémie Saunier qui travaillait au Château d’Ornaison à Ronno (Rhone) dont le propriétaire de l’époque le comte de Foudras fut témoin de leur mariage.

On peut penser que François est venu à Tarare (ca 175O) depuis la région de Macon en Saône et Loire (Trambly, Trades) pour travailler dans les ateliers de fabrication de la célèbre étoffe : la mousseline de Tarare. Ceci perdurera jusqu’en 1899-1901, date à laquelle Maurice Braillon et son épouse Jeanne Perrier se sont exilés à Coublevie (Isère) avec leurs premiers enfants. Nous ne connaissons pas la raison de ce déplacement. Peut-être le tissage, le mariage d’un enfant …..

Nous nous attacherons à complèter cette article mais nous vous convions à lire deux articles Web qui concernent Coublevie et qui nous ramènent vers nos histoires de Ducrest :

L’histoire des martinets nous raconte également l’histoire d’un Georges Ducrest et de sa famille, cette famille est originaire de Taninges (74). C’est Jean Ducrest qui quitte Taninges vers 1600 pour s’installer à Voiron (38) ou il épouse Luciane Pellis la soeur de l’avocat Jean Pellis (voir Histoire de Taninges page 30). Le Georges Ducrest des articles ci-dessus est le fils de jean et Luciane.

 

Cette branche de Taninges est surement à rapprocher des branches de Fillinges et/ou du Chablais

 

A suivre

Thônes

Nous avons ébauché un article sur Thônes afin de compléter les recherches  sur l’histoire des Ducret des Villards et afin de préciser notre bibliographie sur le sujet. Nous vous invitons à vous reporter aux publications des amis du val de Thônes: une référence sur le sujet.

Le marquisat de Thones: Une etude récente (2016) sur le marquisat  de Thônes et la féodalité de cette vallée 28 OCTOBRE 2016 CLARA GERMANN

Un marquis à Thônes (1681-1695) : conseil de ville et autorités seigneuriales à travers les archives communales

 

 

Bibliographie:

La fanfare du Chable

 

La fanfare des “Enfants du Chable” a trop marqué la jeunesse de mon père pour ne pas faire une page spécifique sur cette association. Sa création date du 25 mars 1884. Elle ne fut reconnue juridiquement qu’en 1904 par le sous-préfet. Après 1945 la vie de nombreux jeunes du Chable a été “ryhtmée” par les nombreux voyages organisés par la fanfare. De puis 1997 on parle de l’harmonie Cruseilles/ Le Chable.

Document : Les Enfants du chable (1884->1997) (clic)

La fanfare en 1949

3eme rang debout /5eme en partant de la gauche : Andre Masson

2eme rang debout /4eme en partant de la droite : Georges Ducret (mon père)

La douane du Chable

 

Pour bien comprendre l’histoire de la douane du Chable, il faut connaitre toutes les péripéties des diverses zones franches de Savoie au cours des siècles. Nous y consacrons une page spécifique tant ces divers événements ont pu motiver les déplacements de mes ancêtres tant du coté des Ducret que des Bertherat dit Paccard. (Les Zones Franches en Haute-savoie / clic)

Il n’y eu pas qu’une seule Zone franche à travers les siècles. Mais elles ont toujours été motivées par la volonté de préserver les relations commerciales avec Geneve pour le bas Genevois , le Faucigny et le Chablais en limitant les taxes. Entre Geneve et Annecy cette frontière de zone à été tantôt au pont de la caille, tantôt au Chable…. Lors d’une conférence sur Annecy après la révolution donné par M. Amoudry (2018) , celui-ci a fait un très bon résumé de l’évolution de ces zones franches avec cartes à l’appui. Je vais me procurer certains documents que j’exposerais ici, si j’ai l’autorisation des amis du vieil Annecy. Si nous parlons de la douane au Chable, elle concerne celle implantée au Chable à partir de 1934, date à laquelle mon grand-père arriva au Chable comme douanier avec ces premiers collègues.

Groupe de Douaniers en 1940 (académie salévienne)

Mon grand-pere Ducret Claudius 6eme rang 2eme à partir de la Gauche

au 1er rang, 3ème place, un marin démobilisé après l’armistice, qui fut invité à manger chez François Dubouchet
au 2ème rang, 2ème place, le brigadier-chef GROSPEILLER, originaire du Jura
au 2ème rang, 3ème place, GUILLOT
au 2ème rang, 4ème place, Mme (Yvonne ?) GENERENAZ, la “visiteuse” de la douane du Châble, mère de René ; Yvonne, veuve d’un gendarme, se remaria à Suaton (?) du Petit Châble
au 2ème rang, 5ème place, Jean ROCCABIANCA (en civil), membre du groupe Pan-Pan
au 2ème rang, 6ème place, le lieutenant Emile Léon COTTAZ-PALANçON (1901-1999), en charge de la Capitainerie du Châble
au 2ème rang, 7ème place, François DUBOUCHET (1900-1994), “brigadier des Douanes” (Sergent 12 bataillon Douanier, 2ème compagnie” en 1940)
au 3ème rang, 2ème place, Philippe ESCALLE (avec le baudrier en travers de la poitrine, douanier un “peu procédurier” (épisode de la bouse de vache placé par ses collègues dans son sac avant une fouille))
au 3ème rang, dernier à droite, JANDEL ( ?)
au 4ème rang, 1ère place, SAUTHIER
au 5ème rang, 1ère place, Albert LONGERAY (maigre, grandes oreilles)
au 5ème rand, 4ème place, Armand BORNARD (1910-1977), veuf en 1937, remarié en 1938 à Annecy, “préposé des douanes” arrivé au Châble en 1938 et père de Janine, en classe avec François Déprez
au 6ème rang, 1ère place, MISONI.

Nous profitons de cette photo diffusée sur le site de la Salévienne pour vous inviter à aller voir leur site avec de nombreux document et photos. Je me suis permis d’y jouter quelques commentaires ! http://www.la-salevienne.org/CPA-max.php?Indcart=364

Sans préciser les dates, ma mère pourrait encore citer Paoli un corse qui logeait chez les Bertherat dit Paccard, Verbruge qui venait du Nord, Colin marié à la fille Métral institutrice à Beaumont, Lemaitre qui avait 4 ou 5 enfants et qui venait d’Alsace, Favoulet (devenu propriétaire Avenue de Genève à Annecy il loua cet appartement à mes parents à partir de 1954 et ce fut le lieu de ma première résidence!!!), Paul Mari marié avec Yvonne Mabut, Cheret dont la fille se maria avec André Carrier ébéniste au Chable et dont les meubles ornent encore la salle à manger de mes parents !!!!

Documents

Histoire des Phulpin

Les Phulpin arrivèrent à Frangy vers 1814 avec Joseph qui est alors gendarme (compagnie du Léman) dans cette commune ou peut-être à Cruseilles. Joseph venait du département des Vosges. En 1814, il fit un enfant (Jean Louis) à Anne Cottin dont il reconnut la paternité sans épouser cette dernière. Un an plus tard Anne se maria avec Jean Lupin et eu d’autres enfants avec M. Lupin qui furent demi frères et demi-sœurs de Jean Louis Phulpin.
Avant 1870 Jean Louis Phulpin tenait « le café de la jeune Italie » (1948). Jean Louis avait donné ce nom à son café en l’honneur du retour de la Savoie sous le régime Sarde. 
L’ancienne mairie de Frangy fut louée par la commune de 1870 à 1881 à Jean-Louis Phulpin (ou plutôt à sa famille) par adjudication. C’est en fait son fils Francois déjà marchand tailleur (âgé de 26ans) qui le 1er mai 1980 porta l’enchère décisive pour 160 francs (voir amodiation de l’ancienne mairie : gazette de Frangy de 2010 N° 12)
La commune vends en 1881 cette maison à Jean Louis pour la somme de 2000 francs. Francois était décédé (1880) lors de la vente et c’est Louis un autre fils de Jean Louis qui repris le commerce. 
Louis puis son fils Claudius et son épouse Gabrielle prirent la succession de ce commerce de confection / mercerie. Après le décès de Claudius on retrouve Gabrielle et sa fille Yvonne au magasin. Lucienne la sœur d’Yvonne nous raconte ses souvenirs dans la gazette de Frangy de 2006. (clic)
Gabrielle vint habiter Frangy, présentée à son future mari Claudius Phulpin par les Lion qui travaillaient chez les Taponier au Chable. La mère de Gabrielle, Joséphine née Taponier épouse Bertherat dit Paccard, habita quelques temps à Frangy avec sa fille. On retrouve Joséphine sur le recensement de Frangy de 1938.

Claudius et Gabrielle Phulpin

Debout de gauche à droite: Louis Bertherat dit Paccard, Gabrielle sa Soeur avec Lucienne Phulpin dans les bras, Claudius Phulpin.

Assis de gauche à droite Joséphine Taponier (mère de Louis et de Gabrielle) qui tient la main d’Yvonne enfant, Hyppolite Bertherat dit Paccard son mari.

Maison Phulpin

Histoire des Cavagna

Nous remercions Francis Laruaz de la Balme de Thuy qui nous a aidé à éclaircir les vérités sur cette famille. Francis en 2011 a publié en 2011 une petite monographie sur la Balme de Thuy à partir des très nombreux documents qu’il a pu récolter.

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Laurent (Lorenzo) Cavagna italien de Serina province de Bergamo était  venu faire du bucheronnage aux Plateaux des Glieres. (vers 1880/1890). Nous apprenons tout récemment  qu’un autre couple Antonio Giovani CAVAGNA  et Caterina Angeloni venant également de Serina se sont installés à Magland (74) puis aux Houches (leur fils: Roch Marie Cavagna né en 1821 à Serina semble s’être marié à Magland vers 1845-48) La famille s’est ensuite envolée pour Paris. Je n’ai pas pu trouver de lien entre  les 2 familles.

 Laurent Cavagna (mon arrière gd-père) avait peut-être eu un frère Dominico. Laurent se marie en 1889 à La Balme de Thuy avec Claudine Degravel qui décède 4 ans plus tard, je pense sans descendance. Il fait la connaissance d’Adeline Sonnerat qui habitait la maison Sonnerat sur le plateau des Glieres. Mariés le 30:06:1895, à la Balme de Thuy, ils s’installent dans cette commune.(Quelle maison? A creuser)

Laurent et Adeline ont eu 4 filles et un garçon dont Marcelle Athanaise décédée en 1969 à Saint julien en Genevois.
Marcelle s’était mariée à la Balme de Thuy le 8/05/1929 avec Claudius Ducret qui était menuisier au Villards sur Thônes puis douanier. Claudius a pris un poste de douane du Chable Beaumont en 1934 jusqu’au environ de 1950. A cette date il quittera le Chable pour s’installer à Vongy. Marcelle restera au Chable et finira sa vie avec Andre Masson. André et Marcelle tiendront un épicerie rue de la république à Annecy approximativement de 1952 à 1965 (à l’entrée du passage des bains), avant d’aller travailler à Genève. Ils habitaient aux 19 rue royale à Annecy. (La branche Ducrest des Villards a été developpée sur ce site)

Peu de renseignements sur les soeurs de Marcelle: Marie Olympe decedée à 17 ans et Martine louise peut-être morte jeune également. Mathilde Suzanne Durand née Cavagna a longtemps habité à Thônes, son mari Emmanuel Joseph Durand, mort en 1958, était facteur à Thônes. Il avait lui aussi des origines italienne par sa mère, Celestine Azario dont on retrouve la famille près de Modane.

Le seul fils de Laurent, Gaston Cavagne conscrit de la Balme en 1920 (numéro 3 sur la photo fournie par Francis Laruaz) est le frère de ma gd-mere Marcelle. Mes souvenirs d’enfance le lie avec une maison à Tronchine et une autre à Dingy Saint Clair (grosse maison jaune orangée à la limite des alpages à gauche du Village en regardant vers la Bloniere). Gaston Cavagne et Amelie Vacherand son épouse ont élevé une fille mariée à Maurice Delapraz.
Gaston mort en 1987 à Seynod était négociant en Fromage au 33 rue Sainte claire à Annecy en 1929 puis a partir de 1938 au 23 route de Vignieres à Annecy le vieux. Ils ont eu une boutique donnant sur l’avenue de France je pense vers 1970 et ils vendaient sur les marchésd’Annecy probablement de 1940 à 1970 (leur banc devant la brasserie La coupole).

Gaston Cavagne le numero 3 sur la Photo

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Bibliographie liée :

  • Francois Vacherand raconte ses veillées: Jean Francois Campario / La fontaine de Siloé 2006

Histoire des familles Meot / Guglielmi / Leroy

Les MEOT sont originaires de la Haute Marne (52) entre le plateau de Langres et le nord de la Cote d’Or.
Le nom a surement été mal orthographié avant ou au 16ème siècle et les noms MIOT et MEOT désignent certainement une origine commune.
La branche MEOT qui nous intéresse à probablement ses origines dans le village de Coublanc (52) puis migration pour mariage vers Violot puis Chalancey. On remonte vers 1550. Les professions sont multiples. Beaucoup d’ascendance dans la forge et le bois mais aussi des vignerons et des laboureurs lorsque l’on s’approche de la Cote d’OR

Le premier départ connu pour Paris est celui de Marie Therese Méot née en 1838 à Chalancey (52). Sans conjoint déclaré, elle a donné naissance à Paris 7eme à Louis Adolphe Méot en 1869 (enterré au cimetière de Vaugirard) qui est le grand père de Daniel. Elle est peut-être venue à paris avec sa sœur Augustine Marie qui avait épousé Joseph Auguste Sauvageot. On trouve des liens à Paris entre les Sauvageot et les Méot jusqu’en 1955 (120 ans). Les 2 familles ont dû rester proche (Daniel en a peut-être des souvenirs)

Un Meot Célèbre: Nicolas Méot, ancien cuisinier du prince de Condé, s’établit en 1791 au 8 rue de Valois à Paris (Palais royal).
“Par un acte du 9 nivôse an IV (30 décembre 1795), Ferdinand d’Osterwald, Suisse, a vendu à Nicolas Méot, restaurateur, la maison ci-dessus pour la somme de 4,273,200 francs. L’établissement de Méot acquit sous le Directoire une certaine célébrité.” Un Meot Célèbre: Nicolas Méot, ancien cuisinier du prince de Condé, s’établit en 1791 rue de Valois à Paris (Palais royal).” 

Est ce que c’est  le premier restaurant français ? Peut-être pas, mais il est dans la lignée de l’essor des restaurants à la révolution quand les cuisiniers quittent les riches nobles chez qui ils travaillent pour ouvrir leur établissement. Est-ce que le premier restaurant est  celui de Beauvilliers ? Pas d’avantage ! Le mot “RETAURANT” est toutefois  créé par ce sieur Beauvilliers qui nomme ainsi son restaurant qu’il a ouvert à la même période que Méot (1788-1791) dans le périmètre du Palais-Royal. Il  avait donne ce nom à son établissement pour faire référence à ses mets qui devaient restaurer la santé. Pour parler du premier restaurant français, il faur remonter en 1765 avec Mathurin Rose de Chantoiseau, qui ouvre ce qui deviendra un “restaurant” rue des Poulies près du louvre. Il adopte les codes de ce que sont les  restaurants actuels : table séparée et menu à choix multiples. A l’époque c’était essentiellement des bouillons. C’est avec Méot et quelques autres ,  que l’on rentre dans la gastronomie comme le décrit Brillat-Savarin.

Une dizaine de “restaurants” sont ouverts dans ce quartier du   Palais Royal juste après la révolution (Beauvilliers, Meot, Le Boeuf à la mode, le café de Foy, Very, le Grand Vefour, le café de Chartres, les trois frères provencaux…). Ils sont fréquentés par une clientèle nouvelle, la bourgeoisie et notamment des députés de province venus à Paris. La haute cuisine sort du milieu de cours, à la plus grande joie des bourgeois qui n’avaient jamais goûtés ni truffe ni chambertin. Apprécié par les Conventionnels, “Méot” accueillait régulièrement à ses tables Robespierre et Saint-Just. Meot travailla ensuite sous l’empire pour Joseph Bonaparte. Le nom du restaurant venait de son enseigne représentant un bœuf, et d’une statuette placée en salle dont l’apparence vestimentaire changeait au rythme des garde-robes des Parisiennes. Sous le Directoire (1795-1799) un nommé Tissot repris le restaurant et habilla le bœuf en ” Incroyable “. Le ” Bœuf ” acheva sa carrière en 1936. Aujourd’hui, à la place du restaurant, se trouve le Ministère de la Culture. 
Nous n’avons pas trouvé à ce jour de lien avec notre arbre (recherche en cours).

Documentation :

La branche GUGLIEMI est Corse du village de Quasquara près d’Ajaccio. Pierre Marie gendarme s’exile sur le continent vers 1870, en Ardèche puis dans l’Oise. Son fils Charles Marie militaire nous ouvrira par son alliance une branche purement bretonne.
Une anecdote pour cette branche est le cousinage avec TINO ROSSI.

La branche LEROY

Le nom Leroy est un patronyme très répandu. Cette branche est originaire de Verdelot dans la Marne.
Pour la branche d’Etienne  LEROY, la diversité des lieux est plus grande mais se concentre au sud du bassin parisien dans la Vienne, le Loiret et l’Yonne

Les MEOT constitue donc une famille qui a donc tourné dans les campagnes autour de Paris si on exclut les branches corse et bretonne.

Histoire des Blanc de Saint-Paul

Nous avons identifié plusieurs branches de “Blanc” dans le haut chablais avec des liens entre elles suite à des alliances. Il nous est encore impossible de garantir une ascendance commune à toutes ces branches. Deux branches sont localisées à Saint-Paul / Bernex qui elles, ont certainement une ascendance commune peut-être sur Abondance.

La première partie de cette page est dédiée aux Blanc de Saint Paul en Chablais. Nous nous focaliserons sur deux “Blanc” de la commune ayant acquis une certaine notoriété:

Francois Marie blanc qui a été Syndic de la commune vers 1849 est qui a laissé un cahier manuscrit intéressant (voir ci-dessous).

Arhur Maurice Blanc (dit Arthur de la dent d’Oche) sur lequel Paul Guichonnet  a écrit un livre décrivant sa vie d’alpagiste au 20ème siecle.

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Je me suis autorisé de diffuser un document venant du site de la mairie de Saint-Paul qui a été rédigé en 1872 par Francois Marie Blanc que vous retrouverez sur notre arbre généalogie. Les membres de notre famille issus de cette branche de Saint Paul y retrouveront des informations intéressantes sur leur village.

Document de François Marie Blanc (cliquez sur le portrait)

Nota: Une fois de plus on trouve également dans ce document une mention concernant les Paccard fondeurs de cloches à Quintal qui apparaissent tout en haut de notre arbre.


Un autre histoire amusante sur Saint-Paul !

Il s’en passait de belles à Saint Paul en 1700 !

Claudine d’Oncieu et  Claude de Blonay
Une terrible légende circule à son sujet ! Mais est-ce un légende ?
L. E. Piccard nous dit que Claudine a quasiment ressuscité d’entre les morts.  Voir Académie Chablésienne tome 19 repris par de nombreux auteurs dont Jean Dufresne dans histoire et légendes de Savoie (1933)
Une anecdote au sujet de cette famille de Blonay, amie de Saint François de Sales : Claude de Blonay eut, outre Marie-Aimée, plusieurs enfants. L’un d’eux du nom de Jacques eut à son tour comme fils encore un Claude de Blonay qui épousa, en secondes noces, le 26 août 1602, .Claudine, fille de Janus d’Oncieu, premier président du Sénat de Savoie. Or, voici ce que raconte la tradition Claudine de Blonay née d’Oncieu étant morte jeune encore, on la descendit dans le caveau funéraire de la famille, sous les dalles de l’église de Saint-Paul. La nuit suivante, M. de Blonay, son époux, la pleurait tristement dans sa chambre, quand soudain on frappa à la porte du castel. Il tressaille en murmurant «  c’est ainsi qu’elle heurtait ! » Enfin la porte s’ouvre, et, Mme  de Blonay apparaît, enveloppée de son suaire.” En l’ensevelissant on lui avait laissé une bague qui avait tenté la cupidité d’un de ses domestiques. A la nuit close celui-ci avait pénétré dans l’église, rouvert le caveau et coupé, pour arracher l’anneau, le doigt de la baronne. Mais celle-ci, tirée de sa catalepsie, s’était dressée tout à coup devant le voleur épouvanté. Elle vécut nombre d’années, et eut plusieurs enfants après cet événement.

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D’autres branches Blanc existent,  dont une autre branche importante dans cette région, celle d’Arbroz et des Gets dont des descendants ont émigrés à Fribourg pour donner la branche décrite par Charles Olivier Blanc (geneanet Darbroz) qui nous dit:

“L’origine la plus ancienne des Blanc se trouve à Arbroz. Résidant en février 1384 au hameau de la Côte d’Arbroz, Johannès Blanchi – dit aussi Albi – de Arboribus (Blanc d’Arbroz) eut une postérité dont probablement une branche se fixa au lieu-dit les Pesses, sur la route de Taninges, dont ils portèrent le nom dans les actes notariés jusqu’au 18e siècle pour se distinguer d’autres frères, parents ou familles du même nom (Blanc “de la Bracquerie”, “de la Vuagère”, “de Combafol”, “de la Joug”). La terre d’Arbroz – la Côte d’Arbroz -, fort bien exposée, était plantée d’arbres fruitiers, d’où son nom, et convoitée pour ses riches pâturages.

Le territoire des Pesses (sortie des Gets sur la route de Tanninges) appartenait à la famille Blanc depuis au moins le XVIe siècle. Ce territoire, comme tous ceux mis à disposition par les pères de l’abbaye de Contamine et exploités par les anciennes familles des Gets, était une propriété ou sieurie transmissible de père en fils (usage de l’ancien Faucigny maintenu par les comtes de Savoie), comme la terre voisine des Hostelières (du nom d’une auberge importante) appartenait de père en fils aux Coppel qui s’allièrent plusieurs fois aux Blanc à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe siècle.

Aux Pesses devait se trouver une maison de maître (grand chalet) et ses communs, mais l’ensemble paraît avoir été morcelé à la fin du XVIIIe siècle. On peut rapprocher ce lieu de celui, voisin, dit Les Clos, investi par la même famille Blanc depuis le Moyen Age, époque à partir de laquelle les Blanc devinrent gardes ou régisseurs du château ducal de la Frace (ou La Frasse). Ce château qui défendait le col des Gets,avait été édifié par Jean Verbou, moine prieur de Contamine et maître abbé de la Confrérie du Saint Esprit (1420). Il passa ensuite aux sires de Faucigny, aux comtes puis ducs de Savoie, et fut démantelé à la fin du XVIIe siècle.

Les registres paroissiaux étant lacunaires pour les périodes les plus anciennes, la généalogie des Blanc des Gets n’a pas pu être reconstituée au delà du XVIe siècle. Celle de Jean-Baptiste Blanc des Gets, devenu citoyen du Puy-en-Velay, l’a été avec une marge d’ereurs tenant aux lacunes, aux homonymies et et à la lisibilité des documents anciens.

Cette famille savoyarde jusqu’en 1860, portait un blason transmis à la postérité par un de ses descendants émigré à Evian : “d’azur à la fleur de lys d’argent surmontant trois coupeaux de même et accostée de deux étoiles d’or à six rais”. Cimier: buste d’homme tenant un cimeterre posé sur son épaule”. (J. Baud, dans son Armorial du Chablais, Académie chablaisienne, Slatkine, 1993). La descendance de Jean-Baptiste Blanc porte, comme le voulut son épouse, le blason Jouve de Ladevèze.”

Il nous reste encore beaucoup à étudier !

Histoire des Micucci / Ponzone / Pinto

Cette famille originaire d’Italie, se retrouve à Alger vers 1905 et fait, en ce qui nous concerne, alliance avec les Bourdaloue. Elle se déplace en France chassée par la guerre d’Algérie. Nous avons pu remonté quelques générations.

Nous joignons quelques documents familiaux qui relatent une partie de son histoire. <

En fait plus que s’intéresser aux Miccuci nous nous intéresserons à Maria Addolorata Ponzone qui immigra vers Alger avec un jeune enfant François reconnu par elle et par Nicola Micucci que Maria a connu éphémèrement avant que celui-ci n’immigre vers les USA. Maria  émigra avec sa sœur Anna qui éleva Francois. Maria, comtesse Autrichienne, avait eu cet enfant illégitimement  à une époque où il était inimaginable qu’un enfant puisse naître hors mariage.

Qui étaient ces Ponzone ?

On retrouve des Ponzone en terre du Saint Empire dès le 12eme siècle. On en retrouve également dans la guerre des Monferrat, ce qui nous rapproche de l’histoire de la Savoie!  Des Ponzone ont été également très actifs à Cremone (quelques documents en notre possession serait à étudier)

Au XIX, notre branche probablement de Trieste avait une résidence d’été en bordure du lac de Garde. C’est près de ce lac qu’à du naître François illégitimement.

Bien plus tard à Alger, François épousa Grace Marie dit Grazielle Pinto. Ce mariage nous fait retourner en Italie mais nous ne remontons pour le moment pas au delà du 19eme siecle.

Histoire des Knight

Peut-être notre branche famililiale la plus courte courte mais quelle célèbre branche !!!!

On  a longtemps pensé  que cette branche : les Knight était originaire de la martinique, c’était vrai ! Mais nous avons réussi a remonter encore plus loin avec l’aide des mormons !!!!

Les Knight sont en fait de La Barbade par Barbary OSTREHAN (clic)

Cette Barbary probablement issue d’une famille écossaise ou anglais immigrée à La Barbade alors colonie britannique a eu une fille:  F Henrietta Mary KNIGHT Née le 19 juin 1784 – st michael,barbados / Décédée le 19 avril 1877 – saint-pierre,martinique , à l’âge de 92 ans. 

Barbary enfanta  Henrietta sans conjoint connu et émigra à la Martinique, et la branche se développa…..Henrietta eut probablement 5 enfants bien qu’elle décèda célibataire. On peut penser que le déplacement vers la Martinique se fit vers 1814 avec un arret entre les Barbades et la Martinique sur l’ile de Saint Vincent pour la naissance de Robert Knight dit Wattleworth le 22 novembre 1814. C’est son neveu, Alexis Auguste Amedee, qui va rendre la branche célèbre.

Cette histoire est peu compliquée pour que nous la développions dans ce simple blog.

Nous avons choisi de la présenter dans un fichier pdf que nous vous offrons en téléchargement.

Histoire des Knight          

Résumé :

Barbary Ostrehan fut l’ancêtre (4 générations) de : Alexis Auguste Amedee KNIGHTindustriel et parlementaire français. Il est sénateur de la Martinique de 1899 à 1916, sa famille possède une maison de commerce à Saint Pierre (Martinique) propriétaire du bateau la Gabrielle dont une partie de l’histoire nous est contée dans l’histoire de Saint-Pierre, que nous vous invitons à lire dans le document en lien. Il fit l’acquisitaion du domaine Beauséjour associé à une rhumerie de nouveau célèbre et opérationnelle aujourd’hui.

 

https://www.facebook.com/rhumbeausejour/

Cette branche Knight a été décimée lors de l’érruption du volcan de la montagne  Pelé (clic) le 8 mai 1902.

Liste des disparus sur http://www.stpierre1902.org/index.html

Alexis Auguste Amedee KNIGHT fut probablement sauvé du désastre par sa présence en métropole ou sur le bateau de retour en tant que sénateur membre de la gauche démocratique.

Un clic sur sa photo vous en dira plus

La résidence Beauséjour qui lui a appartenu, est classée et visitable aujourd’hui encore (clic photo)